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Jour 10: Le lendemain je pars découvrir les peintures et plus particulièrement White Ladie, je rencontre Santiago et Stephanie, un couple argentino/Costa-ricienne, nous payons l’entrée (80 NS) et filons vers le site des peintures, le sentier est mal balisé et le guide qui devait arriver n’arriva jamais. Nous arrivons après 45min de marche au fameux site où nous acueille une guide qui va nous expliquer les peintures, elles date de 2000 ans avant JC et sont vraiment bien conservées. Il ne faut pas boire à proximité de risque de projection de liquide sur cette paroi.
Nous descendons tranquillement vers les voitures, il est 11h30 et je prends la route de Twyfelfontein ( fontaine irrégulière en allemand). Il fait toujours aussi chaud et j’arrive tôt au lodge Mowani, l’impression est donne tout de suite avec la gate qui interdit de voir le lodge, le camping se situe à droite de l’entrée, le prix des chambres du lodge sont aux minimum de 400€. Je tente ma chance pour diner, mais par malchance comme me le dira le garde, ils sont complets et ne peuvent pas prendre de personne supplémentaire. J’apprendrais le lendemain que près du lodge de Twyfelfontein se trouvaient des éléphants du désert, deux français on pu les approcher en 4×4. Le lodge de Twyfelfontein est à leur dire egalement magnifique. Je me cale une sieste pour faire passer cette apres-midi caniculaire (35C). Avant la tombe de la nuit, je quitte le camp pour visiter les environs et me dirige vers le site de Twyfelfontein, de superbe lueurs et couleurs se dessinent sur les montagnes rouges et vertes. Je continue vers deux sites Organ pipes et Mountain burnt, la porte d’entrée est fermée et je discute avec le garde, qui dormait dans une petite pièce où il avait installé sa tente, j’en profite pour lui demander combien il touchait comme salaire, aux alentours de 1500NS. Il avait cinq enfants et vivait dans un village aux alentours mais restait sur place 5 jours. J’avais acheté des pâtes, de la ricoré, du biltong que je lui donna.
Je continue ma route vers le lodge en photographiant les abords de route qui sont magnifiques. Le repas du soir fini j’attends la nuit tombe pour essayer de faire des photos de la voie lactée avec la gopro, je teste quelques réglages et m’en veux de ne pas savoir faire les manipulations nécessaires pour une belle photo (et là je pense à Stéphane qui se régalerai à faire de super images, et en plus au chaud et non pas en pleine nuit dans les montagnes ariégeoises).
Jour suivant: Visite de Twyfelfontein, route vers Palmwag