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Parcours du Tour de France 2011

Les principaux sites à observer sur le parcours de l'étape du Tour de France 2011, Saint-Gaudens - Plateau de Beille, le 16 juillet 2011. Go to the international Tour de France Page

Dossier de presse de l'étape Saint-Gaudens - Plateau de Beille (merci de nous contacter par email tourisme@haut-couserans.com si vous avez des difficultés à télécharger le document)

Contacts:
Charles Tartarin
Chargé de mission tourisme
Syndicat mixte du Pays Couserans Espace Maurice Fauroux - Château de Rozès - 09190 Saint-Lizier.
Tél: 05.61.66.98.90. Mobile : 06.38.64.95.55

Pauline Chaboussou
Chargée de mission patrimoine
Communauté de Communes du Canton d'Oust / Château de Seix 5 Chemin de Tresors, 09140 Seix
Tél: 05 34 09 88 30

 

 

Skieur au sommet du Freychet

Col du Portet d'Aspet

Porte d'entrée du département de l'Ariège et du Couserans.

Skieur au sommet du Freychet

Village de Saint-Lary

Charmant village de montagne traversé par le torrent La Bouigane, Saint-Lary abrite une fromagerie artisanale qui fabrique une tome de vache au lait cru forte en goût : « le Calabasse » (du nom du Pic qui surplombe les lieux). Dans l'église Saint-Lary se trouve un remarquable retable baroque. Au début du XXe siècle, des mines d'argent et de plomb étaient exploitées autour du village, ainsi que des ardoisières. La population d'alors mobilisait cinq instituteurs pour Saint-Lary et ses hameaux !

Skieur au sommet du Freychet

Village d'Augirein

Au bord du torrent se dresse une maison avec tourelle du XVIe siècle. Une mine de plomb argentifère aurait été exploitée à Augirein à l'époque gallo-romaine.

Skieur au sommet du Freychet

Village d'Orgibet

Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption Dans un intérieur d'église assez surprenant en Couserans, datant des années 1950, la cuve baptismale de l'église d'Orgibet attire l'attention. Si elle ne date pas de l'époque romane (fin XIIIème, début XIVème siècle), elle présente néanmoins un décor en relief bien marqué, d'esprit roman. Elle est réalisée à l'évidence par des artisans locaux : malgré la diversité des motifs et la présence de représentations humaines, la sculpture reste sommaire. Mais la maladresse des représentations fait toute la saveur de cet art populaire !

Skieur au sommet du Freychet

Village d'Illartein

Illartein abrite l'église Saint-Germier, reconstruite au XIXe siècle. Plusieurs églises, voire des villages tout entiers, sont consacrés à Germier dans le sud-ouest : bien qu'originaire d'Angoulême, ce saint y est assez populaire car il fut évêque de Toulouse vers la fin du VIIe siècle.

Skieur au sommet du Freychet

Village d'Aucazein

Ce petit village ne compte pas moins de deux moulins, un oratoire, ainsi que l'église Saint-Aubin.

Interieur de l'église d'Audressein

Village d'Argein

Pour les férus d'art roman, l'église Saint-Pierre d'Argein permet d'observer des vestiges romans intégrés à une église du XVIIIe siècle et de procéder à un peu d'archéologie du bâti ! Vous remarquerez que l'abside romane est devenue, dans l'église actuelle, une absidiole secondaire. Elle est animée d'un cordon décoratif de fers à cheval, lointain souvenir de bandes lombardes (frise de petits arcs) caractéristiques des chevets des églises du premier âge roman (XIe siècle - début du XIIe siècle).

Interieur de l'église d'Audressein

Village d'Audressein

Le joyau d'Audressein est l'église Notre-Dame de Tramesaygues. « Tramesaygues » : ce nom curieux signifie « entre les eaux ». L'église est en effet bâtie à la confluence de deux torrents, le Lez et la Bouigane. Sous le porche se trouvent d'exceptionnelles peintures du XVe siècle, dont l'une représente un pèlerin de Saint-Jacques. L'édifice est classé au patrimoine mondial par l'UNESCO, au titre des Chemins de Compostelle. On trouve également à Audressein une batteuse pour les céréales mue par la force du torrent (batteuse hydraulique du XIXe siècle), inscrite au titre des Monuments Historiques.

Eglise de Castillon en Couserans

Village de Castillon en Couserans

Chapelle Saint-Pierre ou Chapelle du Calvaire La colline qui domine Castillon s'impose au visiteur comme le lieu emblématique de la petite cité. Le site est coiffé aujourd'hui par le "Parc des Cèdres", merveilleux écrin pour la chapelle Saint-Pierre, mais il fut d'abord le lieu d'implantation d'un château fort et de remparts, possessions des vicomtes du Couserans. Il ne subsiste aujourd'hui de cet ensemble, rasé au XVIIe siècle, que la chapelle castrale. Son beau portail roman est flanqué d'une niche qui contient encore un relief à l'effigie du saint patron du lieu, muni de sa crosse d'évêque et de la clef du paradis. Des travaux d'assainissement ont révélé à l'intérieur la présence de peintures murales exceptionnelles, probablement du XIIIe siècle : arbres de vie et sirènes, parmi des figures de paons, oiseaux, bouquetins, poissons et autres quadrupèdes menaçants aux poils hérissés et aux langues fourchues. Le mur nord de la nef porte des peintures plus tardives (époque gothique); à proximité de la chaire, une légende jacquaire (le « pendu dépendu »), atteste du passage d'une des nombreuses voies secondaires du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Le village lui-même, qui a conservé un entrelacs de ruelles hérité du Moyen Age, mérite le détour. Point de rencontre des quatre vallées qui composent le Castillonnais (Bellongue, Biros, Balaguère et Bethmale), il accueille encore des foires et marchés très vivants, notamment au moment des tranhumances.

Village de Bordes

Village d'Ourjout - Les Bordes sur Lez

Eglise Saint-Pierre Vous accèderez à la charmante église d'Ourjout en passant un très vieux pont à une seule arche, qui enjambe la petite rivière du Lez, et confère beaucoup de charme au site. L'église du XIIe siècle adoptait à l'origine un plan très simple, comme la plupart des églises romanes de montagne : une abside voûtée en cul-de-four (un quart de sphère), ouvrant sur une nef unique. Le chevet roman est resté tel quel, orné de bandes lombardes (frise de petits arcs). A l'intérieur, les colonnes placées à l'entrée du choeur portent de très beaux chapiteaux sculptés. Sur celui de droite, vous distinguerez un motif original, lié au goût médiéval pour les bestiaires : une bête au corps dédoublé en deux profils identiques, ouvre une gueule proéminente et laisse pendre une énorme langue plate qui lui descend jusqu'aux cuisses. Des remaniements importants sont effectués au XVIème siècle : la nef est agrandie vers l'ouest, et deux chapelles latérales sont ajoutées pour former un transept.

Lac de Bethmale

Vallée et villages de Bethmale

Bethmale est l'un des rares exemples de commune-vallée : les villages qui s'égrènent tout au long de cette vallée (Ayen, Arriet.) appartiennent à une seule et même commune. L'activité principale de cette vallée au XIXe siècle était consacrée au fromage, de la production de lait, à la fabrication du fromage, jusqu'à l'affinage en fruitière. Cette tradition a perduré puisqu'il existe encore une fromagerie à Arrien. Autre tradition toujours vivante : le sabotier Pascal Jusot fabrique à Arrien les fameux sabots de Bethmale, dont la forme particulière est liée à une cruelle légende. Au VIIIe siècle, au temps des invasions maures (cf. Charles Martel), la Bethmale fut occupée un temps par les troupes d'un chef maure dénommé Boabdil. Celui-ci séduisit une jeune bergère, Esclarélis. Elle était fiancée à un berger du pays qui participait à la résistance contre les envahisseurs maures. Le jeune homme, fou de chagrin, jura de se venger. Il coupa le buis sous lequel il avait l'habitude de retrouver sa fiancée, autrefois, et façonna avec les racines de l'arbre des sabots dont les bouts en pointe effilée remontaient jusqu'aux genoux. Quelques jours plus tard, les maures furent vaincus. Pour célébrer leur victoire, les bethmalais défilèrent dans la vallée. On vit alors le jeune berger arborant ses sabots, aux pointes desquels étaient embrochés deux cours. Ceuxi de Boabdil et d'Esclarélis, la fiancée qui l'avait trahi.

Skieur au sommet du Freychet

Col de la Core (1395 m)

La route du Col de la Core est aménagée et ouverte à la circulation automobile en 1960. Le Chemin de la Liberté Pour fuir l'Europe nazie, 3000 personnes rejoignent l'Espagne par les Pyrénées couserannaises durant la Seconde Guerre mondiale, avec l'aide de « passeurs » locaux, tel Louis  Barrau, fusillé le 12 septembre1942 près du Col de la Core. En hommage, un itinéraire de franchissement des Pyrénées par le massif du Valier est aujourd'hui consacré « chemin de mémoire » : le Chemin de la Liberté. Le parcours, au départ de Saint-Girons, mène en 27 heures à pied à Esterri dans le Vall d'Aneu (Catalogne).

Les passages du Tour en 1984 (Bernaudeau), en 1998 (R.Meier),en 2002 (L.Jalabert), en 2003 (R. Virenque) et en 2004 (S.Chavanel)

Skieur au sommet du Freychet

Sentenac d'Oust

Joli village de soulane (dans les Pyrénées, c'est le nom que l'on donne au côté ensoleillé d'une vallée (l'adret), par opposition à l'ombrée (l'ubac)), Sentenac d'Oust a conservé, outre l'église Saint-Jaqcues (XVIIIe siècle), de nombreux vergers, 7 lavoirs-abreuvoirs et de superbes granges.

Village de Seix

Village de Seix

Dès les premiers rois francs, les passages et ports de la chaîne pyrénéenne ont une importance stratégique.
Seix est placée très tôt sous protection royale, et devient une « ville libre », statut dont elle bénéficie jusqu'à la Révolution. De nombreux privilèges, dont celui de la chasse et de la pêche, sont accordés aux habitants, qui, en contrepartie, sont tenus de surveiller la montagne par crainte des incursions étrangères. « Soun de Seich, cap de paur » (« Je suis de Seix, je n'ai pas peur ») est leur devise.
Toutefois, les bergers des Pyrénées centrales ne connaissent pas de frontières. Le partage des estives avec les Catalans est régi par les traités de lies et passeries, et les échanges commerciaux entre les deux versants, vitaux pour les populations locales, sont très dynamiques.
Château de Seix Le château, avec ses deux tours, son échauguette et son mur d'enceinte, est un des éléments les plus remarquables du patrimoine du Couserans. Surplombant les toits du village de Seix, il rappelle indirectement que ce site de la haute vallée du Salat occupait jusqu'à une époque récente un emplacement stratégique sur la route de trois cols transpyrénéens majeurs, voies de circulation des hommes et des marchandises.
Le Château abrite aujourd'hui le Centre d'interprétation du patrimoine du Couserans. Au Château de Seix, découvrez le patrimoine des Pyrénées centrales ! Poussez la porte du Château de Seix, Monument Historique du XVIe siècle, et découvrez le centre d'interprétation du patrimoine des vallées du Couserans : pilotez un hélicoptère virtuel au-dessus des Pyrénées sur la maquette multimédia, assistez à la formation de la montagne et repérez-vous dans cette mosaïque de roches, décelez les atouts et les exigences de la vie dans une vallée glaciaire, plongez dans une histoire mouvementée, de l'époque gallo-romaine jusqu'à nos jours, admirez les petites églises romanes, marchez dans les pas des montreurs d'ours, des passeurs et des bergers sans frontières. Au fil des salles, partagez un peu de la vie des hommes et des femmes de ces montagnes !
Le château de Seix est ouvert tous les jours en été.

Skieur au sommet du Freychet

Les châteaux forts

Le sommet aplati au-dessus de la colline du Pouech marque l'emplacement du château du Roy, dont il ne reste plus trace aujourd'hui. Il s'agit d'un des trois châteaux, avec Lagarde et Mirabat, qui entourent Seix au Moyen Age, afin de contrôler les voies d'accès aux ports d'altitude (Salau, Marterat, Aula) et aux territoires catalans. Au sommet de la petite montagne de Mirabat se trouvent les vestiges du château fort. De récentes recherches archéologiques permettent de les dater du XIIIe siècle. Perché à 1270m d'altitude, jouissant d'un point de vue superbe, le château de Mirabat permettait de surveiller les montagnes du Haut-Salat et la plaine jusqu'à Saint-Lizier. Visible de toutes parts, il symbolisait également la puissance de son seigneur.

Skieur au sommet du Freychet

Vallée d'Ustou

Les montreurs d'ours Au XIXe siècle, les terres agricoles, limitées en zone montagneuse, ne parviennent plus à nourrir une population trop nombreuse. De nombreux habitants s'expatrient pour gagner leur vie et envoyer de l'argent à leur famille restée au pays. De façon saisonnière, comme les colporteurs, qui prenaient la route après les travaux des champs, aux premières neiges d'octobre. Ou bien de façon plus prolongée, pour quelques années. Les vallées du Garbet et d'Ustou développent une activité originale, celle des montreurs d'ours, qui durant plus d'un demi siècle, sillonnent l'Europe et l'Amérique.

Skieur au sommet du Freychet

Col de la Latrappe (1111 m)

Col où débute l'histoire de la station de Guzet dans les années 60.
Les passages du Tour en 1984 (Bernaudeau), en 1988 (R.Millar), en 1995 (M.Pantani), en 2003 (C.Mengin) et en 2004 (S.Chavanel)

Skieur au sommet du Freychet

Aulus les Bains

Situé dans la vallée glaciaire du Garbet, qui conserve l'empreinte d'un des glaciers les plus importants du Couserans, le village d'Aulus comporte deux quartiers principaux nettement différenciés : le noyau ancien, dévolu aux activités agro-pastorales, groupé au pied de l'église, côté soulane, et la « ville thermale », éclose au XIXe siècle le long du torrent.
La première source thermale, découverte en 1823, porte le nom de « Darmagnac », lieutenant français affecté à Aulus en 1822 lors d'une épidémie de peste et de choléra en Espagne. Les troupes françaises effectuent à l'époque un cordon sanitaire le long de la frontière. Le lieutenant, syphilitique, boit de l'eau de cette source et se baigne dans le marécage alimenté par celle-ci sur les conseils de Ma Bouno, une vieille femme du village. Les Aulusiens au contraire se méfient des eaux rougeâtres et n'y laissent même pas boire les troupeaux. Très vite, l'état de Darmagnac s'améliore et l'on crie au miracle. Les baigneurs affluent ! Aulus accueille toujours les curistes. La station est spécialisée dans le traitement du cholestérol, des maladies du métabolisme et de l'obésité.

Col d'Agnes

Col d'Agnes (1570 m)

Certainement un des plus beaux cols des Pyrénées tant par la difficulté et les paysages qu'il offre.
Les passages du Tour en 1984 (R.Millar), en 1995 (M.Pantani), en 2004 (Rasmussen) et en 2009 (M. Astarloza)

Skieur au sommet du Freychet

Étang de Lers - Port de Lers (1517 m)

La lherzolithe des profondeurs L'étang de Lers a donné son nom à la lherzolite, une roche métamorphique qui a été étudiée pour la première fois à proximité de ses berges.
La présence de cette pierre est exceptionnelle à la surface de la Terre. Naturellement, elle se trouve à 80km de profondeur en moyenne, composant le manteau supérieur de notre planète. Par le jeu de la tectonique, le hasard l'a entraînée à la surface de la croûte terrestre. Elle est de couleur verte, mais exposée à l'air et à l'eau elle s'assombrit, en un brun-rouge. Ses constituants sont particuliers, car ce sont les mêmes que ceux qui composent les « météorites primitives ».

Limite orientale du Couserans, le Port de Lers domine un vaste plateau d'estives où paissent vaches gasconnes et chevaux de Mérens.
Les passages du Tour en 1995 (M.Pantani), en 2004 (Rasmussen).

Skieur au sommet du Freychet

La Guerre des Demoiselles

De la vallée de la Bellongue jusqu'à Massat, la Guerre des demoiselles fit rage dans le Haut-Couserans entre 1829 et 1931. A cette époque, la réforme du code forestier interdit entre autres de ramasser du bois mort, ce qui conduit les montagnards couserannais, dont la subsistance repose sur ces pratiques, à se révolter. Vêtus de longues chemises de nuit de femme, de couleur blanche, le visage noirci de suie, ils se griment en « demoiselles » (ou « dames blanches ») pour ne pas être reconnus et effrayer les gardes forestiers dans les bois à la nuit tombée.

 

 

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